Voici un site très intéressant pour rester à jour dans vos connaissances sur les syndromes démentiels : Bibliographie critique (synthèse et commentaires) sur la maladie d’Alzheimer et les syndromes apparentés.
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François Pirette interprète la chanson « Je voudrais mourir dans tes bras » à l’occasion du soixantième anniversaire de Salvatore Adamo.
Pirette mourir dans tes bras
envoyé par clap99Salvatore Adamo
MOURIR DANS TES BRASY en a qui meurent bien trop tard quand leur paradis est passé
Y en a qui meurent au hasard d’un coup de dé
Y en a qui meurent sans savoir qu’ils ne sont jamais nés vraiment
Y en a qui meurent sans espoir et plein d’argent
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Y en a qui meurent dans les mémoires c’est bien plus que perdre la vie
Où ceux qui restent quittent le noir et vous oublient
Y en a qui meurent en marchant pour aller cacher leur vieillesse
Aux neiges du grand désert blanc, plaine de promesse
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Y en a qui meurent parce que c’est beau de voir le soleil se coucher
Et d’attendre le jour nouveau de l’autre côté
Y en a qui meurent en dormant, en offrant un sourire aux anges
Y en a qui meurent encore enfant et gagnent au change
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Y en a qui meurent la bouche pleine en libérant un dernier rôt
En se caressant la bedaine mais trop c’est trop
Quand d’autres vont le ventre vide berçant leur mort à bout de bras
En suivant la main qui les guide là où on ne les verra pas
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Y en a qui meurent par erreur pour une poussière sur la balance
Quand la justice a ses rancoeurs ou ses absences
Y en a qui meurent dans les poubelles, les bannis de la société
Leur rêve au bout d’une ficelle, ballon crevé
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Y en a qui meurent au printemps comme des éclairs, comme des flambeaux
Barrant la route pas pour instant aux chars d’assaut
Y en a qui meurent avec permis matriculé comme il se doit
Laissant un casque et un fusil sur une croix
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Y en a qui meurent tous les soirs quand le spectacle est terminé
Quand ils retrouvent dans leur miroir leur vérité démaquillée
Y en a qui meurent en marguerite effeuillée d’une main distraite
Un peu, beaucoup, beaucoup trop vite et ça s’arrête
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Prends ma main ne la lâche pas
Merci Bill pour cette bonne adresse !
J’en profite pour souhaiter une bonne rentrée 2007-2008 à ce Blog tout à fait unique.